mardi 18 février 2014

« Le pot de terre contre le pot de fer » - Episode 8

« Le pot de terre contre le pot de fer »
Episode 8



Jeudi 29 janvier :

Le robot ne se déclenche pas. Un souci de plus dans la programmation.

Sur le point de sortir mon premier E-book, je continue mes écrits.




Vendredi 30 janvier :

J’ai fini les écrits de mon premier E-book à minuit quinze. Il est en cours de publication et sera disponible d’ici 12 à 24 heures sur Amazon.

Ce matin en me levant, je constate que mon E-book est déjà mis en vente sur Amazon.
Je commence mon second livre.

Vers 15h, je fais part de mon premier livre à S. mon amie que je n’ai pas vue depuis plus de 20 ans.
S. me répond vers 16h20.
Tremblements de joie, …
Une montée d’adrénaline monte en moi, je ressens des fourmillements jusqu’au bout de mes doigts.
Mon amie tant recherchée prend le temps de me répondre de son travail et me fait part de ses disponibilités pour nos échanges par le net.


Nous faisons quelques courses avec mon mari et les enfants en fin d’après midi.

Après le repas du soir  et une fois les enfants au lit,  les échanges ne cessent avec mon amie S. qui me recherchait depuis bien des années également. Que d’échanges jusqu’à minuit !
Je me sens bien… j’ai comme retrouvé une partie de moi qui s’était détachée, me suivant comme une ombre, un peu comme un rappel régulier.
Eprouvant… émouvant… presque essoufflant de joie et de bonheur !


Samedi 1er février :

Mon mari continue ses programmations… ses recherches.

De mon coté, après les devoirs des enfants dans la matinée et après la sieste nous faisons une séance peinture particulière.
Après un dessin rapide à la bougie blanche, les enfants barbouillent leurs feuilles avec de la peinture gouache ou acrylique diluée avec le même volume d’eau.
Abracadabra… ! et voilà ! Les motifs apparaissent… les enfants étaient ravis !

Les contacts avec S. continuent, progressent… nous échangeons certains moments de nos vies, nous avons tant à nous raconter.


Dimanche 2 février 

Aujourd’hui, nous fêtons les trois ans de notre fils.
Le dessert est prêt et au frais depuis hier soir.
Nous savourons de bons raviolis frais maison à la sauce tomate de la même maison. 



Un bon tiramisu pour notre Loulou…


Sans oublier les crêpes que nous ferons ce soir.


La suite de mes petits secrets culinaires vous seront confiés prochainement !

Dans l’après-midi, au téléphone avec S. nous continuons nos échanges troublants, tristes, rageants, écœurants suite à nos vies semées d’embûches. Heureusement, il y a toujours de bons moments pour apporter l’équilibre de la vie.

Pendant ce temps, mon mari continue sans cesse son travail de programmations, de répondre potentiels clients à venir sur ses robots. Il commence à saturer en temps… si seulement nous pouvions nous cloner pour avancer plus vite dans notre travail !


Lundi 3 février :

Il est 0h45, Les tests robotiques ont redémarrés depuis 23 h et continuent leur chemin.
Il est tard, bonne nuit…


Mon mari est parti depuis treize heures trente pour se rendre une fois de plus au tribunal. L’affaire du jour en comprend deux. La remise du véhicule professionnel et le remboursement du loyer de ce même véhicule… j’attends avec impatience le retour de mon mari car j’aimerais être une petite souris pour voir le comportement de l’avocat de la partie adverse et celle du juge sur cette double assignation portant sur un seul contrat, ce qui est illégal.

Ma fille a beaucoup la tête dans les nuages en ce moment et peine à faire sa page d’écriture.

Mon mari m’appelle en sortant du tribunal.
Il m’informe de sa réussite à faire grouper et reporter l’affaire au 10 mars avec, pour la banque, l’obligation de faire le choix entre l’une ou l’autre des ses demandes.
La justice commencerait-elle à se tourner un peu vers nous ?

Il est 16h30.
Le robot progresse.
Bien que ce ne soit qu’une programmation, nous devons faire confiance à ce robot qui peut amener notre vie vers nos désirs, nos projets et nos rêves.


Mardi 4 février :


Il est minuit trente, l’heure de se coucher … bonne nuit et à tout à l’heure !





Après un petit plat de Carbonara, mes écrits continuent…




Mercredi 5 février : 


Levée un peu plus tôt que d’habitude pour la réception d’une commande, je m’installe devant mes écrans avec mon café.

Ce matin, le robot a redémarré.
J’attends que mon mari ait fini les changements de programmes de ses derniers robots pour leur laisser faire leur travail, car c’est ce à quoi ils sont destinés.
C’est ce que nous faisons sans relâche depuis un an, moment ou mon mari a commencé à créé son premier robot.
Nous ne sommes pas loin du compte pour avoir « le robot parfait » qui ne nous donnera plus aucun souci.
 

Pendant ce temps, notre bataille continue.
Mon mari doit se présenter au tribunal en milieu de ce mois pour l'affaire de notre demande de report pour nos crédits immobiliers jusqu'à retour à meilleure fortune. Il envoie ses conclusions à la partie adverse.

Nous avons des droits.
Nul n'est sensé ignorer la loi.
En cas de difficulté, toute personne à droit à un report de crédits immobiliers, jusqu'à deux ans. Comme une pause pour les mensualités et les intérêts.
Les banquiers s’en cachent bien. Pour obtenir cette demande, il faut évidemment passer par le tribunal. Il faut être patient. Il faut ne pas paniquer si le banquier vous envoie un huissier sonner à votre porte, car sans jugement il ne peux rien faire.
Tout ça parce qu’un événement a bouleversé votre vie, que vous ne pouvez plus rien payer en attendant de redresser votre situation, la banque vous saigne…
Tout ce qui l’intéresse, c’est de saisir toutes valeurs dans le temps le plus court, puis, si possible, vous balancer à la rue avec vos enfants.
Mais NON !
Nous ne sommes pas tombés dans leur piège car nous avons des droits ! Dès lors que nous avons demandé un report de nos prêts immobilier jusqu’à  retour à meilleure fortune, l’affaire est devenue pendante devant le tribunal d’instance et cela a modéré les ardeurs de la banque. Merci à notre conseiller juridique !
Il n’y a pas besoin d’un avocat qui vous coûtera au moins mille euros pour commencer… Et qui, en définitive, est vendu aux banques.
Avec un bon conseiller juridique, il est possible de se défendre.
Il ne faut pas avoir peur des grandes robes noires qui vous toisent et affichent des sourires condescendants…

Déjà depuis fin juillet 2013, juste avant l’incendie, mon mari a mandaté un huissier pour signifier à la banque son assignation devant le tribunal d’instance.
Oui, ce n’est pas tout les jours qu’on se paye une banque !

Depuis cette date, toutes les six semaines environ, mon mari se présente au tribunal pour cette affaire.
La banque, méprisante, ne respecte pas la procédure et ne nous envoie pas ses conclusions mais nous les jette sur le bureau du juge. Dans cette situation, nous demandions à chaque fois un report d’audience pour apporter nos conclusions et répondre aux leurs. Bons citoyens, nous envoyions nos conclusions à la partie adverse qui une fois au tribunal demandait un report suite au fait qu’ils n’avaient pas eu le temps de répondre à nos conclusions… etc, etc,…. Cela peut durer longtemps ! Preuve en est, à ce jour, notre demande de report est toujours en étude.
Lors de la dernière convocation, l’avocat de la partie adverse a remis ses conclusions à mon mari en mains propres devant le juge alors que nos conclusions lui ont étés remises cinq semaines avant, avec pour preuve, l’avis de réception du recommandé!
Mon mari a alors protesté suite au délai abusif de la banque pour répondre à nos conclusions et a demandé un report car il ne pouvait se permettre de répondre à la barre à un courrier qu’il n’a pas prit le temps d’étudier. L’affaire fût reportée alors au 17 février…

Mon mari ayant fini avec les conclusions les renvoie ce jour à la partie adverse, en recommandé avec accusé de réception par le biais du site internet de la poste pour plus de rapidité.


Nous attendons patiemment le 17 de ce mois.


Jeudi 6 février :

La vie continue…
Ce matin, peu de temps après le petit déjeuner, la factrice sonne à la porte pour me remettre un énorme colis.
Dans ma tête, le temps d’une fraction de seconde, je ne me souvenais pas avoir commandé quelque chose d’aussi énorme !
Et puis Tilt ! C’est Tata et Zio… Un colis si gros ! ...
J’ai attendu que les enfants finissent leurs devoirs puis, le moment est arrivé :
Des livres, des peluches, et de beaux vêtements confectionnés par Tata avec soin,  réalisés avec beaucoup de goût, tant dans le choix des tissus que dans la coupe. Des vêtements qui ont servis pour les cousins et cousine de mon mari qui sont toujours en parfait état et indémodables.
Félicitation Tata A. pour ces créations et vos doigts de fée !
Nous vous remercions beaucoup pour tout !

Les enfants progressent.

Je profite de la sieste du petit pour réaliser un cinq-cinquièmes aux pommes et aux amandes, des petites crèmes aux amandes et un coulis de mangue Ananas que je prépare dans mon siphon pour former des chapeaux de mousse sur les crèmes avant de servir.




Mon mari s’acharne sur son travail. Il continue ses programmations en prenant soin de satisfaire ses potentiels clients en répondant à leurs questions...


Vendredi 7 février :


Le robot démarre en milieu de matinée. En début d’après-midi, il progresse tranquillement.

Ce temps n’interrompt pas la digestion de ma côte de porc forestière accompagnée de riz blanc que j’ai cuisiné avec Amour pour mon mari et mes Loulous.



Samedi 8 février :

Il est minuit cinquante et donc, temps de me coucher…

Bien que ce soit le week-end, mon mari continue son travail.

De mon coté, la matinée fût ciblé comme chaque matin sur l’éducation de mes enfants qui progressent toujours.

Ce midi, j’ai mitonné un petit rôti de porc dans l’échine avec quelques spaghettis et une salade debananes au citron pour le dessert.


Dimanche 9 février :

Ce matin, avec les enfants, nous avons fait de la lecture animée avec les silhouettes, représentant les scènes les choses et les personnages de l’histoire, faits en papier.

Mon mari continuant son travail, cette après-midi, j’ai réalisé de nouveaux chocolats à base de mangue et d’ananas.
Vers dix huit heures j’ai commencé ma pâte à pain avec un kilo de farine pour réaliser nos pizzas au poivron et au chorizo et quelques fougasses.





Lundi 10 février :



Depuis hier soir vingt-trois heures le robot a redémarré. Il semblerait qu’il veuille fonctionner …
En attente de résultats, je confectionne de nouveaux chocolats au confit de mangue et ananas.
Toute la journée, le robot est en étude.
Ce soir, mon mari a fini la nouvelle mise à jour de son robot.
Une nouvelle progression est à venir.


Mardi 11 février :


Ce matin, les robots sont en nouveaux tests.
Tout progresse, mais il faut laisser le temps aux robots de faire leur travail…
De telles attentes sont toujours très longues dans une situation comme la nôtre… à vivre sur quelques réserves dans le but de survivre le plus longtemps possible avec ce que nous avons… En attendant le vrai démarrage de notre activité.
C’est comme pour la création d’une société, il faut se faire connaitre avant de se lancer réellement pour réussir… !

En parallèles de ces observations, je contacte le centre national d’enseignement à distance pour les renseignements nécessaires à l’éducation de nos enfants. Nous avons encore une année de battement avant toute inscription, mais je dois contacter l’inspection académique pour l’obtention d’un accord pour l’enseignement à distance.

Ce soir, pendant la cuisson de mes tartines Lorraines, je prépare un cinq-cinquièmes aux pommes et chocolat qui aura tout le temps de cuire pendant le repas.




Jeudi 13 février :



Hier fût une journée d’attente de résultats … toute la journée dans le négatif, c’est dans la nuit que la situation s’est redressée… Pour le moment, les robots progressent puis reculent, progressent puis reculent, …  mais avec un peu plus de progressions. Pour combien de temps ?  Je garde confiance car il faut du temps pour avoir un vrai résultat.

Mon mari reçoit de notre avocat une assignation en référé à destination de la banque pour l’affaire de la demande de caution solidaire du crédit à la création d’entreprise de notre société en cours de liquidation. Cette fameuse affaire à laquelle mon mari n’a pu se présenter car il était convoqué le même jour pour une autre affaire avec cette même banque.
Nous avons hâte de savoir ce qui s’échangera entre les avocats… Nous attendons toujours.


En fin d’après-midi, l’un des deux robots s’arrête.
Que se passe-t-il ?
Nous en saurons plus demain.



Vendredi 14 février :


Ça marche réellement ! Il faut vraiment faire confiance au robot qui est très bien programmé. Il faut également accepter les défauts qu’il sera toujours possible de corriger. Ces attentes font parfois gagner beaucoup plus  de temps que prévu lorsque le robot est dans le bon sens. Les quelques fuites restent acceptables suite à la programmation du robot qui positionne des bouchons aux bons endroits.
Il nous faudra encore du temps avant de pouvoir en vivre …


La réussite est liée à la patience mais dépend également de beaucoup de bonne volonté.

Avant tout, n’oublions pas qu’aujourd’hui, c’est la Saint Valentin !
Un jour où nous fêtons également le quatrième anniversaire des premiers pas de notre fille aînée, quel beau cadeau !
Mon mari prend le temps de faire quelques petites courses pour qu’en cette journée de cœurs je ne me surmène pas en cuisine.
Merci mon chéri ! Même après bientôt 18 ans de mariage et vingt ans de vie commune, tu es toujours très attentionné…

Ce soir, maintenant que les enfants sont au lit, nous profitons tous deux de la vie en partageant notre dernière bouteille de champagne que nous achetions chez notre producteur favoris Edgar Desplot. Un Champagne cent pour cent Chardonnay comme nous l’aimons, qui se suffit à lui-même.



Réinvestir dans ce plaisir fait également partie de nos projets… Parce-que le champagne est Douceur, et subtilement enivrant !

***
Le champagne.

Selon Hippocrate, « Le vin est une chose merveilleusement appropriée à l’homme si, en santé comme en maladie, on l’administre avec à propos et juste mesure, suivant la constitution individuelle »
Il dissipe les états nauséeux et soutient le moral.
« De tous les vins, il n’en est pas de meilleur pour la santé qu’un vin gris de Champagne, ou de couleur œil de perdrix » Dixit Chanoine Godinot en 1718.

Une boisson aux fines bulles pleine de qualités sans ajout de gaz carbonique, comme le sont certains vins mousseux et boissons gazéifiées.
Le champagne améliore la digestion en dissolvant les graisses et en évitant les ballonnements sans irriter l’estomac grâce à son PH très faible.
Diurétique, il aide à éliminer les excès.
Riche en potassium, en calcium en magnésium et en soufre, il est dépuratif, détoxiquant et anti-inflammatoire et aide contre les rhumatismes, les allergies et les rhumes.
Riche en zinc, le champagne était reconnu et utilisé comme antidépresseur et anxiolytique avant la création des comprimés.
Contenant également du phosphore et du lithium, le champagne régule nos humeurs.

« Je ne peux vivre sans champagne. En cas de victoire, je le mérite ; En cas de défaite, j’en ai besoin. »
Dixit Napoléon Bonaparte.
Quelques décennies plus tard, Winston Churchill reformula cette citation avec :
« Le champagne est nécessaire en temps de défaite et obligatoire en temps de victoire »


***


Samedi 15 février :

Ce matin, je reçois les deux coupons de tissus que j’ai commandés pour moins de seize euros … Je vais pouvoir réaliser deux à trois tuniques à ma façon… De quoi passer un petit moment d’évasion !


Mon mari ne cesse de programmer de nouveaux robots ou des variantes et continue l’amélioration des premiers.
Changer certaines idées permet de revenir sur les premières et de les corriger.
Il prépare également un peu chaque jour le dossier pour son rendez-vous avec l’une des banques d’un pays voisin prévu le vingt-six de ce mois.  

Nous sommes en contact régulier avec des personnes de onze pays différents, parmi lesquelles cinq d’entre elles nous apportent leurs critiques et leurs idées. En remerciements, nous leur offrons les mises à jour des robots auxquelles ils ont participé. Ces échanges sont toujours très enrichissants car nous en avons toujours des retours pour continuer et corriger les programmations.





Dimanche 16 février :

Grâce à internet, nous échangeons notre premier contact téléphonique avec nos amis des antipodes.
Un bon moment de plaisir et de bonheur, toujours trop court pour dire ce que nous avons à nous dire…  tant de plaisirs malgré mon niveau d’anglais médiocre contrairement à mon mari !
Nos échanges avec nos amis nous encouragent à continuer. La bonne émulation créée entre nous et nos soutiens mutuels nous incite à travailler chacun de notre coté en nous échangeant nos résultats et nos critiques.



Lundi 17 février :

Ce matin, l’un des robots démarre, puis le second, une demi-heure après.


Les deux robots confirment la nouvelle technique manuelle.

Ayant un petit reste de pomme de terre d’hier, ce midi, je prépare mes gnocchis à la sauce tomate en y ajoutant un peu de bœuf haché une fois l’ail saisi.
Parsemés de Grana, c’est toujours un régal pour un temps de préparation de trente cinq minutes.

Mon mari se présente en ce début d’après midi au tribunal pour l'affaire de notre demande de report pour nos crédits immobiliers jusqu'à retour à meilleure fortune.
Je suis impatiente de savoir quelle sera la réponse à notre courrier que je vous ai confié ci-dessus…
Mon mari de retour, me raconte…
Il y avait plus d’une centaine de personnes au tribunal et presque toutes les affaires ont étés renvoyées sauf la nôtre.
Mon mari se trouvait face à deux avocats qui le harcelaient de questions et de reproches mais aussi de mensonges.
Ils s’exprimaient d’une façon hautaine « Monsieur, vous avez cinq crédits, ça se rembourse ! 
Vous avez trouvé un travail dans un pays voisin ! » Comme ils le citaient dans les courriers…
Mais mon mari leur répondit que ce n’étaient que mensonges.
La juge a demandé à entendre mon mari qui a expliqué calmement que déjà bien avant la liquidation de notre société, nous n’avions plus de revenus et que nous vivions sur beaucoup de choses que nous revendions peu à peu.
Pour une fois, la banque n’a pas pu demander de report car la juge a décidé de juger. Nous attendons donc le délibéré du 23 avril.



Mon mari a pour ainsi dire terminé la programmation, mais le robot est encore à créer en réel, le chiffrage, les plans les fournitures,… sans oublier les petites retouches qu’il faut toujours apporter. Le travail ne cesse de s’accumuler malgré cette grande progression.

Les idées ne manquent pas, en ce moment même à vingt trois heure quinze, il travaille encore sur les programmes d’un autre robot.
Son petit carnet en main devant notre série qui est actuellement « Star Trek Voyager ». 




A très bientôt pour la suite de nos tribulations ...


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