« Le pot de terre contre le pot de
fer »
Episode 8
Jeudi 29 janvier :
Le robot ne se déclenche
pas. Un souci de plus dans la
programmation.
Sur le point de sortir mon
premier E-book, je continue mes écrits.
Vendredi 30 janvier :
J’ai fini les écrits de
mon premier E-book à minuit quinze. Il est en cours de publication et sera
disponible d’ici 12 à 24 heures sur Amazon.
Ce matin en me levant, je
constate que mon E-book est déjà mis en vente sur Amazon.
Je commence mon second
livre.
Vers 15h, je fais part de
mon premier livre à S. mon amie que je n’ai pas vue depuis plus de 20 ans.
S. me répond vers 16h20.
Tremblements de joie, …
Une montée d’adrénaline
monte en moi, je ressens des fourmillements jusqu’au bout de mes doigts.
Mon amie tant recherchée
prend le temps de me répondre de son travail et me fait part de ses
disponibilités pour nos échanges par le net.
Nous faisons quelques
courses avec mon mari et les enfants en fin d’après midi.
Après le repas du
soir et une fois les enfants au
lit, les échanges ne cessent avec mon
amie S. qui me recherchait depuis bien des années également. Que d’échanges
jusqu’à minuit !
Je me sens bien… j’ai
comme retrouvé une partie de moi qui s’était détachée, me suivant comme une
ombre, un peu comme un rappel régulier.
Eprouvant… émouvant…
presque essoufflant de joie et de bonheur !
Samedi 1er
février :
Mon mari continue ses
programmations… ses recherches.
De mon coté, après les
devoirs des enfants dans la matinée et après la sieste nous faisons une séance
peinture particulière.
Après un dessin rapide à
la bougie blanche, les enfants barbouillent leurs feuilles avec de la peinture
gouache ou acrylique diluée avec le même volume d’eau.
Abracadabra… ! et
voilà ! Les motifs apparaissent… les enfants étaient ravis !
Les contacts avec S.
continuent, progressent… nous échangeons certains moments de nos vies, nous
avons tant à nous raconter.
Dimanche 2 février
Aujourd’hui, nous fêtons
les trois ans de notre fils.
Le dessert est prêt et au frais
depuis hier soir.
Nous savourons de bons
raviolis frais maison à la sauce tomate de la même maison.
Un bon tiramisu pour notre
Loulou…
Sans oublier les crêpes
que nous ferons ce soir.
La suite de mes petits secrets culinaires vous seront confiés prochainement !
Dans l’après-midi, au
téléphone avec S. nous continuons nos échanges troublants, tristes, rageants,
écœurants suite à nos vies semées d’embûches. Heureusement, il y a toujours de
bons moments pour apporter l’équilibre de la vie.
Pendant ce temps, mon mari
continue sans cesse son travail de programmations, de répondre
potentiels clients à venir sur ses robots. Il commence à saturer en
temps… si seulement nous pouvions nous cloner pour avancer plus vite dans notre
travail !
Lundi 3 février :
Il est 0h45, Les tests robotiques ont redémarrés depuis 23 h et continuent leur chemin.
Il est tard, bonne nuit…
Mon mari est parti depuis
treize heures trente pour se rendre une fois de plus au tribunal. L’affaire du
jour en comprend deux. La remise du véhicule professionnel et le remboursement
du loyer de ce même véhicule… j’attends avec impatience le retour de mon mari
car j’aimerais être une petite souris pour voir le comportement de l’avocat de
la partie adverse et celle du juge sur cette double assignation portant sur un
seul contrat, ce qui est illégal.
Ma fille a beaucoup la
tête dans les nuages en ce moment et peine à faire sa page d’écriture.
Mon mari m’appelle en
sortant du tribunal.
Il m’informe de sa
réussite à faire grouper et reporter l’affaire au 10 mars avec, pour la banque,
l’obligation de faire le choix entre l’une ou l’autre des ses demandes.
La justice
commencerait-elle à se tourner un peu vers nous ?
Il est 16h30.
Le robot progresse.
Bien que ce ne soit qu’une
programmation, nous devons faire confiance à ce robot qui peut amener notre vie
vers nos désirs, nos projets et nos rêves.
Mardi 4 février :
Il est
minuit trente, l’heure de se coucher … bonne nuit et à tout à l’heure !
Après un petit plat de
Carbonara, mes écrits continuent…
Mercredi 5 février :
Levée un peu
plus tôt que d’habitude pour la réception d’une commande, je m’installe devant
mes écrans avec mon café.
Ce matin, le
robot a redémarré.
J’attends
que mon mari ait fini les changements de programmes de ses derniers robots pour
leur laisser faire leur travail, car c’est ce à quoi ils sont destinés.
C’est ce que
nous faisons sans relâche depuis un an, moment ou mon mari a commencé à créé
son premier robot.
Nous ne
sommes pas loin du compte pour avoir « le robot parfait » qui ne nous
donnera plus aucun souci.
Pendant ce temps, notre
bataille continue.
Mon mari doit se présenter
au tribunal en milieu de ce mois pour l'affaire de notre demande de report pour
nos crédits immobiliers jusqu'à retour à meilleure fortune. Il envoie ses
conclusions à la partie adverse.
Nous avons des droits.
Nul n'est sensé ignorer la
loi.
En cas de difficulté, toute
personne à droit à un report de crédits immobiliers, jusqu'à deux ans. Comme
une pause pour les mensualités et les intérêts.
Les banquiers s’en cachent
bien. Pour obtenir cette demande, il faut évidemment passer par le tribunal. Il
faut être patient. Il faut ne pas paniquer si le banquier vous envoie un huissier
sonner à votre porte, car sans jugement il ne peux rien faire.
Tout ça parce qu’un
événement a bouleversé votre vie, que vous ne pouvez plus rien payer en
attendant de redresser votre situation, la banque vous saigne…
Tout ce qui l’intéresse,
c’est de saisir toutes valeurs dans le temps le plus court, puis, si possible,
vous balancer à la rue avec vos enfants.
Mais NON !
Nous ne sommes pas tombés
dans leur piège car nous avons des droits ! Dès lors que nous avons
demandé un report de nos prêts immobilier jusqu’à retour à meilleure
fortune, l’affaire est devenue pendante devant le tribunal d’instance et cela a
modéré les ardeurs de la banque. Merci à notre conseiller juridique !
Il n’y a pas besoin d’un
avocat qui vous coûtera au moins mille euros pour commencer… Et qui, en définitive,
est vendu aux banques.
Avec un bon conseiller
juridique, il est possible de se défendre.
Il ne faut pas avoir peur
des grandes robes noires qui vous toisent et affichent des sourires
condescendants…
Déjà depuis fin juillet
2013, juste avant l’incendie, mon mari a mandaté un huissier pour signifier à
la banque son assignation devant le tribunal d’instance.
Oui, ce n’est pas tout les
jours qu’on se paye une banque !
Depuis cette date, toutes
les six semaines environ, mon mari se présente au tribunal pour cette affaire.
La banque, méprisante, ne respecte
pas la procédure et ne nous envoie pas ses conclusions mais nous les jette sur
le bureau du juge. Dans cette situation, nous demandions à chaque fois un
report d’audience pour apporter nos conclusions et répondre aux leurs. Bons
citoyens, nous envoyions nos conclusions à la partie adverse qui une fois au
tribunal demandait un report suite au fait qu’ils n’avaient pas eu le temps de
répondre à nos conclusions… etc, etc,…. Cela peut durer longtemps !
Preuve en est, à ce jour, notre demande de report est toujours en étude.
Lors de la dernière
convocation, l’avocat de la partie adverse a remis ses conclusions à mon mari en
mains propres devant le juge alors que nos conclusions lui ont étés
remises cinq semaines avant, avec pour preuve, l’avis de réception du
recommandé!
Mon mari a alors protesté
suite au délai abusif de la banque pour répondre à nos conclusions et a demandé
un report car il ne pouvait se permettre de répondre à la barre à un courrier
qu’il n’a pas prit le temps d’étudier. L’affaire fût reportée alors au 17
février…
Mon mari ayant fini avec
les conclusions les renvoie ce jour à la partie adverse, en recommandé avec
accusé de réception par le biais du site internet de la poste pour plus de
rapidité.
Nous attendons patiemment
le 17 de ce mois.
Jeudi 6 février :
La vie continue…
Ce matin, peu de temps
après le petit déjeuner, la factrice sonne à la porte pour me remettre un
énorme colis.
Dans ma tête, le temps d’une
fraction de seconde, je ne me souvenais pas avoir commandé quelque chose d’aussi
énorme !
Et puis Tilt ! C’est
Tata et Zio… Un colis si gros ! ...
J’ai attendu que les
enfants finissent leurs devoirs puis, le moment est arrivé :
Des livres, des peluches,
et de beaux vêtements confectionnés par Tata avec soin, réalisés avec beaucoup de goût, tant dans le choix
des tissus que dans la coupe. Des vêtements qui ont servis pour les cousins et
cousine de mon mari qui sont toujours en parfait état et indémodables.
Félicitation Tata A. pour
ces créations et vos doigts de fée !
Nous vous remercions
beaucoup pour tout !
Les enfants progressent.
Je profite de la sieste du
petit pour réaliser un cinq-cinquièmes aux pommes et aux amandes, des petites
crèmes aux amandes et un coulis de mangue Ananas que je prépare dans mon siphon
pour former des chapeaux de mousse sur les crèmes avant de servir.
Mon mari
s’acharne sur son travail. Il continue ses programmations en prenant soin de
satisfaire ses potentiels clients en répondant à leurs questions...
Vendredi 7 février :
Le robot
démarre en milieu de matinée. En début d’après-midi, il progresse
tranquillement.
Ce temps
n’interrompt pas la digestion de ma côte de porc forestière accompagnée de riz blanc que j’ai
cuisiné avec Amour pour mon mari et mes Loulous.
Samedi 8 février :
Il est minuit cinquante et
donc, temps de me coucher…
Bien que ce soit le
week-end, mon mari continue son travail.
De mon coté, la matinée
fût ciblé comme chaque matin sur l’éducation de mes enfants qui progressent
toujours.
Ce midi, j’ai mitonné un
petit rôti de porc dans l’échine avec quelques spaghettis et une salade debananes au citron pour le dessert.
Dimanche 9 février :
Ce matin, avec les
enfants, nous avons fait de la lecture animée avec les silhouettes,
représentant les scènes les choses et les personnages de l’histoire, faits en
papier.
Mon mari continuant son
travail, cette après-midi, j’ai réalisé de nouveaux chocolats à base de mangue
et d’ananas.
Vers dix huit heures j’ai
commencé ma pâte à pain avec un kilo de farine pour réaliser nos pizzas au poivron et au chorizo et quelques fougasses.
Lundi 10 février :
Depuis hier
soir vingt-trois heures le robot a redémarré. Il semblerait qu’il veuille
fonctionner …
En attente de résultats,
je confectionne de nouveaux chocolats au confit de mangue et ananas.
Toute la journée, le robot
est en étude.
Ce soir, mon mari a fini
la nouvelle mise à jour de son robot.
Une nouvelle progression est à venir.
Mardi 11 février :
Ce matin,
les robots sont en nouveaux tests.
Tout
progresse, mais il faut laisser le temps aux robots de faire leur travail…
De telles
attentes sont toujours très longues dans une situation comme la nôtre… à vivre
sur quelques réserves dans le but de survivre le plus longtemps possible avec
ce que nous avons… En attendant le vrai démarrage de notre activité.
C’est comme
pour la création d’une société, il faut se faire connaitre avant de se lancer
réellement pour réussir… !
En
parallèles de ces observations, je contacte le centre national d’enseignement à
distance pour les renseignements nécessaires à l’éducation de nos enfants. Nous
avons encore une année de battement avant toute inscription, mais je dois
contacter l’inspection académique pour l’obtention d’un accord pour
l’enseignement à distance.
Ce soir,
pendant la cuisson de mes tartines Lorraines, je prépare un cinq-cinquièmes aux pommes et chocolat qui aura tout
le temps de cuire pendant le repas.
Jeudi 13 février :
Hier fût une
journée d’attente de résultats … toute la journée dans le négatif, c’est dans
la nuit que la situation s’est redressée… Pour le moment, les robots progressent
puis reculent, progressent puis reculent, … mais avec un peu plus de progressions. Pour
combien de temps ? Je garde confiance car il faut du temps pour
avoir un vrai résultat.
Mon mari reçoit de notre
avocat une assignation en référé à destination de la banque pour l’affaire de
la demande de caution solidaire du crédit à la création d’entreprise de notre
société en cours de liquidation. Cette fameuse affaire à laquelle mon mari n’a
pu se présenter car il était convoqué le même jour pour une autre affaire avec
cette même banque.
Nous avons hâte de savoir
ce qui s’échangera entre les avocats… Nous attendons toujours.
En fin
d’après-midi, l’un des deux robots s’arrête.
Que se passe-t-il ?
Nous en
saurons plus demain.
Vendredi 14 février :
Ça marche
réellement ! Il faut vraiment faire confiance au robot qui est très bien
programmé. Il faut également accepter les défauts qu’il sera toujours possible
de corriger. Ces attentes font parfois gagner beaucoup plus de temps que prévu lorsque le robot est dans
le bon sens. Les quelques fuites restent acceptables suite à la programmation
du robot qui positionne des bouchons aux bons endroits.
Il nous
faudra encore du temps avant de pouvoir en vivre …
La réussite est liée à la
patience mais dépend également de beaucoup de bonne volonté.
Avant tout, n’oublions pas
qu’aujourd’hui, c’est la Saint Valentin !
Un jour où nous fêtons
également le quatrième anniversaire des premiers pas de notre fille aînée, quel
beau cadeau !
Mon mari prend le temps de
faire quelques petites courses pour qu’en cette journée de cœurs je ne me
surmène pas en cuisine.
Merci mon chéri !
Même après bientôt 18 ans de mariage et vingt ans de vie commune, tu es
toujours très attentionné…
Ce soir, maintenant que
les enfants sont au lit, nous profitons tous deux de la vie en partageant notre
dernière bouteille de champagne que nous achetions chez notre producteur
favoris Edgar Desplot. Un Champagne cent pour cent Chardonnay comme nous
l’aimons, qui se suffit à lui-même.
Réinvestir dans ce plaisir
fait également partie de nos projets… Parce-que le champagne est Douceur, et
subtilement enivrant !
***
Le champagne.
Selon Hippocrate, « Le
vin est une chose merveilleusement appropriée à l’homme si, en santé comme en
maladie, on l’administre avec à propos et juste mesure, suivant la constitution
individuelle »
Il dissipe les états
nauséeux et soutient le moral.
« De tous les vins,
il n’en est pas de meilleur pour la santé qu’un vin gris de Champagne, ou de
couleur œil de perdrix » Dixit Chanoine Godinot en 1718.
Une boisson aux fines bulles
pleine de qualités sans ajout de gaz carbonique, comme le sont certains vins
mousseux et boissons gazéifiées.
Le champagne améliore la
digestion en dissolvant les graisses et en évitant les ballonnements sans
irriter l’estomac grâce à son PH très faible.
Diurétique, il aide à
éliminer les excès.
Riche en potassium, en calcium
en magnésium et en soufre, il est dépuratif, détoxiquant et anti-inflammatoire
et aide contre les rhumatismes, les allergies et les rhumes.
Riche en zinc, le champagne
était reconnu et utilisé comme antidépresseur et anxiolytique avant la création
des comprimés.
Contenant également du
phosphore et du lithium, le champagne régule nos humeurs.
« Je ne peux vivre
sans champagne. En cas de victoire, je le mérite ; En cas de défaite, j’en
ai besoin. »
Dixit Napoléon Bonaparte.
Quelques décennies plus
tard, Winston Churchill reformula cette citation avec :
« Le champagne est
nécessaire en temps de défaite et obligatoire en temps de victoire »
***
Samedi 15 février :
Ce matin, je reçois les
deux coupons de tissus que j’ai commandés pour moins de seize euros … Je vais
pouvoir réaliser deux à trois tuniques à ma façon… De quoi passer un petit
moment d’évasion !
Mon mari ne
cesse de programmer de nouveaux robots ou des variantes et continue
l’amélioration des premiers.
Changer
certaines idées permet de revenir sur les premières et de les corriger.
Il prépare
également un peu chaque jour le dossier pour son rendez-vous avec l’une des
banques d’un pays voisin prévu le vingt-six de ce mois.
Nous sommes
en contact régulier avec des personnes de onze pays différents, parmi
lesquelles cinq d’entre elles nous apportent leurs critiques et leurs idées. En
remerciements, nous leur offrons les mises à jour des robots auxquelles ils ont
participé. Ces échanges sont toujours très enrichissants car nous en avons
toujours des retours pour continuer et corriger les programmations.
Dimanche 16 février :
Grâce à internet, nous
échangeons notre premier contact téléphonique avec nos amis des antipodes.
Un bon moment de plaisir
et de bonheur, toujours trop court pour dire ce que nous avons à nous dire… tant de plaisirs malgré mon niveau d’anglais
médiocre contrairement à mon mari !
Nos échanges avec nos amis
nous encouragent à continuer. La bonne émulation créée entre nous et nos
soutiens mutuels nous incite à travailler chacun de notre coté en nous
échangeant nos résultats et nos critiques.
Lundi 17 février :
Ce matin, l’un des robots
démarre, puis le second, une demi-heure après.
Les deux
robots confirment la nouvelle technique manuelle.
Ayant un petit reste de pomme
de terre d’hier, ce midi, je prépare mes gnocchis à la sauce tomate en y ajoutant
un peu de bœuf haché une fois l’ail saisi.
Parsemés de Grana, c’est
toujours un régal pour un temps de préparation de trente cinq minutes.
Mon mari se présente en ce
début d’après midi au tribunal pour l'affaire de notre demande de report pour
nos crédits immobiliers jusqu'à retour à meilleure fortune.
Je suis impatiente de
savoir quelle sera la réponse à notre courrier que je vous ai confié ci-dessus…
Mon mari de retour, me
raconte…
Il y avait plus d’une
centaine de personnes au tribunal et presque toutes les affaires ont étés
renvoyées sauf la nôtre.
Mon mari se trouvait face
à deux avocats qui le harcelaient de questions et de reproches mais aussi de
mensonges.
Ils s’exprimaient d’une
façon hautaine « Monsieur, vous avez cinq crédits, ça se rembourse !
Vous avez trouvé un
travail dans un pays voisin ! » Comme ils le citaient dans les
courriers…
Mais mon mari leur
répondit que ce n’étaient que mensonges.
La juge a demandé à
entendre mon mari qui a expliqué calmement que déjà bien avant la liquidation
de notre société, nous n’avions plus de revenus et que nous vivions sur
beaucoup de choses que nous revendions peu à peu.
Pour une fois, la banque n’a
pas pu demander de report car la juge a décidé de juger. Nous attendons donc le
délibéré du 23 avril.
Mon mari a
pour ainsi dire terminé la programmation, mais le robot est encore à créer en
réel, le chiffrage, les plans les fournitures,… sans oublier les petites
retouches qu’il faut toujours apporter. Le travail ne cesse de s’accumuler
malgré cette grande progression.
Les idées ne manquent pas,
en ce moment même à vingt trois heure quinze, il travaille encore sur les
programmes d’un autre robot.
Son petit carnet en main
devant notre série qui est actuellement « Star Trek Voyager ».
A très bientôt pour la suite de nos tribulations ...
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